Twelve, c'est avec un album de douze reprises que tatie Patti Smith remet le couvert, avec quelques opus bien choisis des Stones, des Doors, de Nirvana, et même de Tears For Fears, Gregg Allman ou encore Stevie Wonder.
L'égérie hippie des seventies ne cherche pas à redorer son blason poétique sur le dos de standards pondus par ses copains mais s'est simplement pliée en studio à un exercice dont elle était déjà coutumière sur scène il y a trente ans, quand elle n'hésitait pas à se lancer, en plein set, dans des reprises des Who et consorts.
Elle parvient sans complexe à imprimer son propre univers, celui de Horses ou Radio Ethiopia, à toutes ces chansons que, du coup, on réécoute avec beaucoup de plaisir et une oreille différente.
Les commentaires récents